jeudi 29 mai 2008

Lycée Jacques Prévert : une renovation qui se fait attendre








Alors que les résultats du lycée Jacques Prévert étaient en baisse en 2007

(mais un mieux (+8%) semble constaté cette année),

cet établissement sympatique mérite mieux que ces bâtiments dégradés !


Même s'il s'agit ici du domaine d'action de la région, un peu plus d'information serait bien venue de la part de la mairie.

(Cf. le silence assourdissant de notre blogueur Thierry Solère contrairement aux établissements privés plusieurs fois salués !)


Depuis septembre 2007, ("Rénovation Lycée Jacques-Prévert à Boulogne-Billancourt"), pas beaucoup de communication ni d'engagements sur le sujet... ?

Une bribe est publiée par la région IDF :

"Évider le rez-de-chaussée du bâtiment pour
mettre en relation les deux cours Est et Ouest
au travers du préau, constituant ainsi un vaste espace qui dégage perspectives et profondeurs.
Une cour anglaise traitée en amphithéâtre
constitue un prolongement extérieur du foyer."

Architectes : Christine et Dominique Carril



Elus : Rendez des comptes sur le sort que vous réservez au seul lycée public (non professionnel) de Boulogne Billancourt, 110 000 habitants !

Nous attendons des détails sur le site du conseil régional IDF...



Alors que d'autres lycées proches de là surperforment, l'enseignement public à Boulogne stagne et voient certains de leurs élèves se réfugier dans les établissements privés de Boulogne...

Et les résultats ne sont pas très bons (confirmé par l'Express), cf. ma petite synthèse ci dessous :








A quand la fin de la fuite des cerveaux dans le 16ème ?



Les témoignages de l'Internaute sont éclairants :

L'avis de Sophie (Boulogne-Billancourt)

Parent d'élève Lycée extrêmement bien tenu par Mme le Proviseur et son adjointe, des enseignants toujours prêts à aider les élèves.

Ce que j'aime : Aucun élève n'est refusé dans cet établissement, il n'y a pas de sélection : chaque élève à sa chance ! Le Proviseur sait tenir son établissement (élèves et enseignants).

Ce que je n'aime pas : Les locaux trop vieux et l'établissement petit pour accueillir l'ensemble des bacheliers de Boulogne-Billancourt.


L'avis de Marc (Boulogne)
Triste lycée C'est le seul lycée public de Boulogne ! Une ville riche de 106 000 habitants.


L'avis de Justine (Boulogne-Billancourt)
Mouais Je suis en Première au lycée Jacques Prévert, c'est dommage qu'il ne soit pas assez grand pour accueillir les élèves de Boulogne.

Ce que j'aime : La Proviseur qui sait gérer les élèves et les professeurs. Des enseignants qui veulent voir des résultats.

Ce que je n'aime pas : L'état du lycée : des murs qui s'éffritent, des sols défoncés.


L'avis de H. (Boulogne-Billancourt)
Jacques Prévert Lycée assez agréable et dans l'ensemble assez satisfaisant...


L'avis de Jacky (Paris)
Hey ! Ca va !Ce que j'aime : L'emplacement.


L'avis de Nicolas (Neuilly)
Jacques Prévert... Ce lycée n'est pas digne du nom du poète qu'il a reçu, la qualité de l'infrastructure est vraiment déplorable...Ce que j'aime : Les grèves, les inondations mais surtout la section audiovisuel.






Bon rdv en 2012 pour le second lycée de Boulogne : sur le trapèze...

La laideur mise en avant.

Suite du message précédent :



Sur le trottoir du Bld Jean Jaurès, près du supermarché ATTAC, un immeuble se dresse, défiant les lois du bon gout.

L'avis des habitants ? révoltés.
Non seulement on assassine par ce PLU les principes d'alignement durement appliqués par le passé, mais en plus, on construit un bloc terne et hideux qui défigure ce quartier sud de la ville, dont l'embellissement est si précieux.

On attend que la démocratie locale rende désormais impossible ces précédents.


mercredi 28 mai 2008

Expo photo : Usines Renault, Ile Seguin, derniers éclats...



Derniers Eclats de l’Ile Seguin, 2002-2005, 38 photographies d’Hubert Fanthomme sur l’agonie et la disparition d’un des fleurons de l’industrie française, les Usines Renault à Boulogne-Billancourt.
Un voyage nostalgique et poétique au coeur de cette forteresse ouvrière construite en 1930. Une exposition de la galerie Christian Arnoux rue de Seine à Paris. Hubert Fanthomme est photographe à Paris Match depuis 26 ans.

Ecouter :

samedi 24 mai 2008

Duhamel et "l'affaire Chirac - Sarkozy et l'association oubliée"

On a oublié ce passé bien trouble de nos élus ...





Tiens, notre ancien maire se rappelle dans Le Point à notre bon souvenir :


"...
Cheville ouvrière de l'association à ses débuts, le haut fonctionnaire Pierre-Mathieu Duhamel (futur directeur des finances de la mairie de Paris) a ainsi affirmé qu'il ignorait qu'un collaborateur recruté par lui en 1992 travaillait au 174, boulevard Saint-Germain.
« Il savait très bien où j'étais, a corrigé l'intéressé, interrogé par la police le 21 janvier. Je pense qu'il ne souhaitait pas parler de ces locaux. Vous m'en demandez la raison ? Cette antenne [...] comportait la présence de M. Sarkozy. C'est peut-être pour cela que M. Duhamel n'a pas insisté sur cette adresse. »

...


Questionné le 5 février, l'ancien trésorier de Réussir l'an 2000, Jacques Rigault-Jacomet (qui fut aussi directeur financier du RPR), a mis en avant l'implication de Nicolas Sarkozy dans la création, l'installation, le financement et l'animation de la structure chiraquienne.
..."
Quand je vous disais que "bien vite, on regrettera Chirac !"

"Roland-Garros se sent à l'étroit"

Doit-on lutter contre l'extension de Roland Garros ?
Le bois doit-il concéder quelques terrains ? ou les serres d'Auteuil ?
















Qu'en pensez vous ?











Un article interessant de Challenges :







Extrait :



"...



Projet controverséL'extension de Roland-Garros ne fait pas l'unanimité. Pierre-Christophe Baguet, député-maire de Boulogne-Billancourt, dénonce un projet «déraisonnable», car il faudra une passerelle qui enjambera les Serres d'Auteuil pour accéder au nouveau central.



«La vérité, dit-il, c'est que Christian Bîmes, qui dirigea le Zénith à Toulouse, veut une salle pour pouvoir faire venir ses amis chanteurs.»







Faux, réplique le président de la FFT. «Il n'y aura que du tennis dans cette nouvelle enceinte. Peut-être exceptionnellement un championnat de basket ou de volley.»







D'autres dénoncent une course au gigantisme, un projet motivé par l'ego. «Vous savez comment s'appellera le nouveau stade ? lance un détracteur. Le stade Christian-Bîmes. Ce qui est important, ce n'est pas la taille, mais avoir un lieu où souffle l'esprit. Le Festival de Bayreuth n'a pas évolué depuis un siècle et reste un must. Quelle valeur aurait un tournoi qui se déroulerait devant des tribunes vides ?»







Bîmes réfute ces arguments. «Si l'agrandissement ne se fait pas, on risque de rater une nouvelle fois l'organisation des jeux Olympiques à Paris», prévient-il. Le futur stade permettra aussi à Roland-Garros de parfaire son dispositif. «On pourrait en profiter pour diminuer le nombre de sponsors afi n que les happy few bénéficient d'une meilleure visibilité», indique Fabien Grobon, directeur du partenariat et des licences. La disposition des espaces de relations publiques pourrait être revue. Actuellement, les fans enragent de voir les tribunes désertées à midi (les invités déjeunent au Village). «Dans le nouveau stade, ce ne sera plus le cas, indique Dominique Baud, directeur général adjoint. Les espaces de réception (salons, terrasses, loges) seront dans l'enceinte.» Et les râleurs ne râleront plus. Roland-Garros n'a pas fini de se réinventer.
..."


Bon, tant que ...


Maria

et Ana

sont là,

on est rassuré...

mardi 20 mai 2008

Un nouveau "MaVille.com" : MonElancourt !


Un nouveau site frère : MonElancourt !

Un site de grande qualité, que vous pourrez consulter sur le lien suivant :
monelancourt.typepad.fr/monelancourt/
Longue vie !

A noter aussi
Le Site des élus de l’opposition municipale d’Élancourt :
http://www.mieuxvivreaelancourt.fr/

samedi 17 mai 2008

8 millions pour bebel...

Si Paul Belmondo mérite notre admiration (et notre obole culturelle), était-ce l'investissement le plus urgent ?



Le Parisien :

15/05/2008 :
Ce soir, le conseil municipal doit voter une rallonge financière importante pour lancer les travaux du futur musée Paul-Belmondo .

IL N'Y AURA PAS de deuxième flop culturel à Boulogne-Billancourt. Après l'échec de la Fondation Pinault sur l'île Seguin et son départ pour Venise, le musée Paul-Belmondo commençait, à son tour, à prendre un retard inquiétant.

Les enfants du sculpteur, l'acteur Jean-Paul en tête, en venaient à croire que le projet ne verrait jamais le jour.

La délibération prise ce soir par le conseil municipal devrait rassurer tout le monde.

« En fait, les moyens nécessaires n'avaient pas été mis en face du souhait d'installer ce musée dans le château Buchillot, considère Thierry Solere, premier adjoint au maire UMP. Il était question au départ que la ville débourse la même somme que l'estimation des oeuvres du sculpteur, soit environ 2,5 millions d'euros, mais on était loin du compte. »

Pas suffisant pour financer le projet. Les appels d'offres auprès des entreprises s'étaient logiquement révélés infructueux.

Un coût total estimé à 7,58 millions d'euros

La nouvelle municipalité a donc décidé d'augmenter sensiblement son investissement. Ce soir, le conseil municipal s'apprête à voter une délibération autorisant le député-maire UMP, Pierre-Christophe Baguet, à passer un marché de travaux pour un peu plus de 3,8 millions d'euros avant de le compléter par une nouvelle autorisation de 1,2 million d'euros en juin prochain. La somme totale de 5 millions va permettre l'aménagement intérieur du château Buchillot pour y accueillir « le musée Paul-Belmondo et de la Sculpture figurative du XX e siècle ».

Pour autant, ces 5 millions ne couvriront pas toutes les dépenses : le coût total de l'opération est aujourd'hui arrêté à 7,58 millions d'euros. Car, au-delà des travaux, il faut payer entre autres la maîtrise d'oeuvre, le ravalement, les assurances, ainsi que la restauration des oeuvres qui, à elle seule, coûtera 225 000 € .

A terme, l'écrin que constituera le château Buchillot permettra d'accueillir la collection Belmondo, qui a fait l'objet d'une donation de la famille de l'artiste.
Une donation composée de 259 sculptures et moules de sculptures, 444 médailles, 878 dessins ainsi qu'un fonds d'atelier, notamment des croquis, des dessins, des outils et du mobilier.

BOULOGNE- BILLANCOURT. C'est le château Buchillot , réaménagé, qui devrait à terme accueillir la collection Belmondo qui compte, entre autres, 259 sculptures et moules ainsi que de nombreuses médailles et dessins.

mercredi 14 mai 2008

Qu'est devenu notre ancien maire PMD ?

Le Figaro :

"Pierre-Mathieu Duhamel, 51 ans, énarque, ancien ministre conseiller en charge des questions économiques et financières à la représentation de la France auprès de l'OCDE (2000-2002), va rejoindre KPMG. Désigné membre du comité stratégique de cabinet, il succédera fin décembre à Jean-Louis Chaussende à la tête de cette instance. Depuis 2006, Pierre-Mathieu Duhamel était chargé de l'internationalisation de la banque de détail au groupe Caisse d'épargne."

Son poste : "Président du comité stratégique et chargé du développement de l'activité du secteur public."

lundi 5 mai 2008

"Sur l'île Seguin toujours déserte, un nouveau projet repart de zéro"




Effectivement, comme le rappelle le journal Le Monde c'est un retard de 6 ans qui est à nouveau à prévoir. Il faudra que les arguments et les résultats soient solides pour justifier une telle remise en question !



"Deuxième table rase pour l'île Seguin. Après la démolition des usines Renault, c'est désormais le projet d'"île des Deux Cultures", mis en oeuvre par la municipalité précédente, qui fait l'objet d'un démontage pièce par pièce par le nouveau maire de Boulogne-Billancourt, Pierre-Christophe Baguet (UMP). Un nouveau bouleversement pour l'île, après les débats provoqués par la fermeture des usines en 1992, puis la polémique qui a suivi l'abandon par François Pinault, en 2005, de son projet de fondation d'art contemporain.

Premier effet de ce grand ménage, le directeur de la société anonyme d'économie mixte (SAEM) chargée d'aménager la zone, Jean-Louis Subileau, figure respectée de l'urbanisme et de l'architecture, a été démis de ses fonctions mardi 22 avril par le maire, président de la SAEM. "J'ai demandé un état des lieux complet pour le 1er juillet, annonce M. Baguet. Mon but, c'est que l'île soit vivante en permanence, ouverte aux Boulonnais et moins dense que prévu : je veux construire 110 000 m2, contre 175 000 m2 dans le projet précédent."

La campagne municipale dans cette ville des Hauts-de-Seine s'était cristallisée autour du devenir des anciens terrains Renault, sur l'île de 11 hectares et un trapèze de 40 hectares situé sur la terre ferme. L'ancien maire, Jean-Pierre Fourcade, en dissidence de l'UMP, défendait pour l'île un projet déjà ficelé, axé sur la cohabitation d'institutions culturelles et scientifiques. M. Baguet, lui, créait la surprise avec une contre-proposition organisée autour d'un jardin de sculptures, soutenu par le président des Hauts-de-Seine et patron de l'UMP, Patrick Devedjian, et le président de la République et ancien patron du département, Nicolas Sarkozy (Le Monde daté 27-28 janvier).

Adieu donc la scène de musiques actuelles de 4 000 m2, la résidence d'artistes et de chercheurs de 240 logements, l'hôtel quatre étoiles de 183 chambres, les sièges sociaux du CNRS, de l'Inserm et de l'Institut national du cancer. Adieu aussi les 20 000 m2 du campus de l'Université américaine de Paris. Exit encore la "galerie animée", cette promenade de 1,3 km de long perchée à 20 mètres au-dessus de la Seine. Ponctuée d'oeuvres d'art et de cafés, elle devait relier les bâtiments en évoquant l'enceinte disparue de la forteresse Renault.

"Ces programmes représentent des dizaines de millions d'euros. Les bâtiments sont déjà conçus par des architectes prestigieux, une partie des terrains ont fait l'objet de promesses de vente et de permis de construire", s'inquiète M. Subileau. Aucun problème, assure le nouveau maire. "Nous négocions avec les investisseurs, qui n'étaient pas si contents d'être coincés derrière des administrations. Et beaucoup de projets étaient moins avancés qu'on ne l'a dit." Certains équipements pourraient s'installer ailleurs à Boulogne. L'hôtel pourrait rester, sous la forme d'un petit hôtel de charme.

Pour M. Devedjian, qui vient d'entrer au conseil d'administration de la SAEM, "le projet Fourcade avait pour principal défaut d'être trop dense et de compter trop de bureaux administratifs. Ce lieu allait être mort le soir et le week-end. Moi, je défendrai tous les projets qui permettront de faire vivre la culture sur l'île, dans la perspective du projet départemental de vallée de la culture". C'est le conseiller d'Etat Daniel Janicot qui a été chargé de piloter la préfiguration de cette île Seguin nouvelle formule et de l'articuler avec les autres institutions culturelles des Hauts-de-Seine. "L'île Seguin doit devenir le poumon culturel de cet ensemble", estime-t-il.

TAXES PROFESSIONNELLES

Au programme, "un jardin de sculptures, fruit d'une grande commande publique, illustrant ce que peut être un jardin du XXIe siècle", et 30 000 m2 d'équipements culturels. "Il y aura une grande halle d'exposition, où l'on pourra montrer des sculptures monumentales, et une scène abritée sous une grande conque pour des spectacles en plein air", annonce M. Janicot.

Mais l'île comptera aussi 40 000 m2 de bureaux consacrés à l'industrie culturelle : entreprises liées au numérique, à la radio, la télévision, aux jeux vidéo ; plus de 40 000 m2 de commerces relatifs à la culture, au bien-être et aux loisirs, des restaurants et des guinguettes. Toutes activités génératrices de taxes professionnelles, contrairement aux institutions invitées par l'équipe Fourcade.

"C'est un conflit culturel, estime pour sa part M. Subileau. Le campus, les résidences, tout cela aurait amené de la vie. Ce qui nous est reproché, dans le fond, c'est d'avoir fait un projet de gauchistes, tourné vers la recherche, la création, les artistes, la musique de jeunes. A la place, ils vont faire venir de la consommation et de la communication."

L'ex-directeur de la SAEM quitte son poste avec aigreur : "Ce qui me rend malade, c'est qu'en réalité on était dans les temps. Si Pinault n'avait pas laissé tomber, aujourd'hui sa fondation serait presque terminée." Le temps de mener les études, les programmes, les concours, la mise en œuvre, l'île Seguin, elle, est repartie pour six ans de nouveaux délais. La durée d'un mandat municipal.


Grégoire Allix"

dimanche 4 mai 2008

"Mobilisation pour le droit et la liberté de produire et de consommer sans OGM"


Les boulonnais doivent eux aussi se mobiliser !

Greenpeace : Paris - 13 mai - mobilisation pour le droit et la liberté de produire et de consommer sans OGM

OGM, j'en veux pas !


Paris, France — A l'occasion du dernier passage du projet de loi à l'Assemblée Nationale, une journée de mobilisation interassociative est organisée pour demander aux députés de voter une loi qui nous protège des OGM.
Au programme : - A partir de 13 heures : Un pique-nique sans OGM dans les jardins des Tuileries et, pour ceux qui ne peuvent pas se déplacer, devant toutes les préfectures de France. - A 15 heures : La formation d'une chaîne humaine autour de l'Assemblée Nationale en vue de protéger symboliquement les députés de la contamination génétique et des lobbies pro-ogm. Par ailleurs, une permanence se tiendra place Edouard Herriot (à côté de l'Assemblée Nationale) durant toute la durée de la discussion parlementaire, les 13 et 14 mai. Rejoignez-nous ! Et n'hésitez pas à propager cet appel autour de vous !

L'hopital Ambroise Paré : un partenariat citoyen à développer ?


Si vous n'y êtes pas déjà passé, vous irez surement un jour ou l'autre dans l'hopital de notre ville ... pour vous ou vos proches.


Pour autant, entretient-on un lien régulier avec ce lieu ?

On est souvent pressé d'oublier un épisode douloureux, d'éviter un lieu qui rapelle la souffrance.

Pourtant, la santé devrait être une préoccupation du quotidien.



Alors que nous avons l'immense chance de disposer d'un hopital à dix minutes de chez nous,
nous évitons le plus souvent de nous interroger sur la manière de prendre en main notre santé. Dans ce cas, autant dire que celle-ci se rappellera à nous de facon ... douloureuse.




A l'heure où l'individu demande plus à la médecine, où il souhaite être acteur de sa prévention voire de sa guérison, de plus en plus, il ne veut plus confier de façon aveugle son destin aux mains d'un technicien de la biologie. Il ne se satisfait plus du dogme médical actuel : Symptome, diagnostic, remède.

Interaction psy-soma, médecine énergétique, interaction des substances polluantes, influence de l'alimentation, démarche holistique, entretien du potentiel d'auto-guérison, d'immunité, effets secondaires de la sur-médication halopathique attirent davantage l'attention aujourd'hui.


L'attrait des médecines douces, la timidité dans l'approche thérapeute / patient,
l'échec fréquent des prises en charge, le coût délirant du système de santé
devraient obliger la médecine à évoluer.


Et si nous allions à la rencontre de cet établissement, pour reconnaitre le travail admirable des soignants et imaginer une relation revisitée avec la médecine, à l'instar de son révolutionnaire éponyme Ambroise Paré ?


Comment représenter les usagers de la médecine, dans le but d'inciter à moderniser une institution opaque et parfois corporatiste ? Connaissez-vous les CISS ? Les associations agréées ? Le CAIRN ?

Si les droits de l'usager se developpent, on est encore loin d'une véritable démocratie sanitaire

Pourtant, des représentants sont déjà présents dans les comités d'administration des hopitaux (exemple pour Ambroise Paré)


Assez de digressions,
voici quelques éléments de l'actualité de l'hopital :

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Mai 2008 :




Qui dit printemps dit beaux jours et soleil. Mais aussi allergies, notamment aux pollens et aux graminées.


La période est difficile pour les 3 millions de français qui les allergiques au pollen ou aux graminées. On est en plein dans la saison des allergies. Des allergies qui provoquent rhume des foins, rhinite, asthme, trachéite ou irritations des yeux.
Etienne Bidat, allergologue à l'hôpital Ambroise-Paré de Boulogne-Billancourt, explique que l'on est rentré dans la période la plus sensible pour les personnes sensibles au pollen « parce qu'on a déjà attaqué les pollens de l'aune et du bouleau. Cette année les pollens de bouleau ont été moins intenses mais nos amis du Sud de la France ont connu une saison de pollens de cyprès qui était intense. On rentre dans la grande saison des pollens, les pollens de graminées, qui ont commencé à faire une timide apparition au Nord de la Loire et qui vont probablement exploser dans les jours qui viennent ».
Thomas à 36 ans. Il est professur des écoles à Paris et souffre d'une allergie au pollen depuis la classe de 5e. Il témoigne : « j'étais animateur en colonies de vacances, en pleine campagne, je savais que c'était quelque chose qui allait m'arriver et qui allait être très embêtant. Quand je prenais certains médicaments qui m'endormaient, c'était un peu compliqué à gérer avec les gamins. C'est assez handicapant ».


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Mai 2008 :


Conférence : "L'enfant, le sommeil et le stress"

L’association Education-motivation parents (emp-92) organise, le jeudi 15 mai à 20h15, une conférence sur le thème « L’enfant, le sommeil et le stress » animée par Laurence Roux-Fouillet, sophrologue. Jeudi 15 mai. Salle des Fougères (sous la Grand-Place). Entrée libre. Toutes les infos sur http://www.e-mp.asso.fr/


NDLR: cette association semble novatrice. Tient-elle ses promesses ?

Existe-t-il l'équivalent pour les usager de l'hopital ?

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Janvier 2006 :



Cette revendication symbolique, hautement appréciée des électeurs, fait appel à la fierté de naitre dans notre ville. Si ce souhait peut se comprendre, est-il pour autant légitime financièrement si la cité voisine absorbe aisément les naissances de notre ville ? ceci reste à vérifier.

D'autres disciplines plus négligées doivent-elles faire les frais de cette annonce démagogique (psychiatrie, ?


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Janvier 2005 :



Le 15 novembre 2004, Philippe Douste-Blazy, ministre de la Santé, signait une convention
cadre avec Radio Hôpital. L’objectif ? Étendre à l’ensemble des établissements hospitaliers
ce concept unique en France qu’est cette radio, née à Ambroise-Paré en 2002. Passé, présent
et futur d’une radio pas tout à fait comme les autres.


En 1996, à la suite d’un accident, Sandrine
Pacitto est hospitalisée à l’hôpital
Ambroise-Paré. Immobilisée plusieurs
mois, la jeune femme propose alors au
professeur Alain Lortat-Jacob, chef du
service orthopédie et traumatologie, de
créer une radio interne dans son service.

En avril 2002, Radio Hôpital prend
naissance à Ambroise-Paré, forte d’un
principe : « Rompre la solitude des patients,
créer des liens entre le personnel, les patients
et les équipes hospitalières (...) pour leur
permettre de s’exprimer et d’intervenir sur
l’antenne. » Depuis, Radio Hôpital s’est
fait un nom et affiche de célèbres parrains
tels Philippe Gildas, Charles Aznavour,
Alain Decaux, Henri Salvador...
« La signature de cette convention cadre
devrait permettre aux autres hôpitaux de
pouvoir profiter de notre expérience »,
confie Alain Lortat-Jacob.
...
La suite page 3 sur 6 de l'article.
... le fin :

Marie-Laure Loffredo : Point de vue d’une directrice


Si Radio Hôpital existe,
c’est aussi grâce au
soutien de la direction
de cet établissement
hospitalier qui lui alloue
chaque année un
budget de fonctionnement pour le renouvellement
de l’équipement et met un local à disposition de
son équipe.
Sa directrice, Marie-Laure Loffredo
confie d’emblée : « Ce n’est pas parce que c’est
un hôpital que l’on se doit d’être triste. Nous
humanisons l’accueil et nous soignons les détails
pour que chaque malade se sente le bienvenu ! »
Et cela se voit ! Décorations de Noël, cadeaux
personnalisés offerts aux patients pour les fêtes,
concerts dans le hall d’accueil pour les patients,
récemment Gilbert Montagné... D’où son
engagement aux côtés de Radio Hôpital depuis sa
création :
« J’ai trouvé cette idée très innovante.
Comme nous sommes également là pour
repérer et soutenir les bonnes initiatives,
nous avons tout de suite répondu présents.
Le seul problème vient du fait que souvent
nos patients souffrent de graves maladies,
que la moitié d’entre eux sont trop fatigués
pour regarder la télévision, et que par
conséquent, tous ne sont pas toujours réceptifs...
Mais même s’il y a seulement dix auditeurs,
cela suffit, parce que cette radio est un
formidable moment d’évasion, elle a une vertu
thérapeutique. Ce genre de projet est éphémère
et s’effondre relativement vite mais il est
remarquable que celui-ci perdure et se
renforce. » La longévité de Radio Hôpital est
due à Sandrine Pacitto, à Jean-Jacques Rouzier
et Nicolas Pios et à tout l’équipe de bénévoles.

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18/05/2001 :


BOULOGNE, HOPITAL AMBROISE-PARÉ, HIER MATIN. Jean-Luc Desonberg, 41 ans, un des trente bénévoles de RAP, anime chaque semaine son émission « Faites la route avec moi ». (LP.)

COMMENT RENDRE un hôpital, un blockhaus si peu chaleureux, moins inhospitalier pour les malades ? C’est l’objectif que s’était fixé, il y a quatre ans, Sandrine Pacitto, journaliste à France Bleue. Alors qu’elle séjourne à l’hôpital Ambroise-Paré de Boulogne-Billancourt, victime d’un accident de la route, elle a « l’idée lumineuse » de vouloir « faire du bien aux personnes alitées de l’hôpital par le biais d’une radio interne. » Elle sollicite alors les professeurs Alain Lortat-Jacob et Jérôme Benoît du service de traumatologie, la jeune chambre économique de Paris, et même l’animateur Arthur, qui financera le matériel du studio...

Depuis, ce qui était une simple idée s’est réalisé. Radio Ambroise-Paré (RAP) diffuse ses programmes sur le canal 11 de la télévision de l’hôpital. Chaque jour, près de deux heures d’animation en direct, traitant de divers sujets (« Pause-Café », « Vie des associations », théâtre, jazz, rock...) sont proposées aux malades. Le début du succès de RAP, forte aujourd’hui de ses 30 bénévoles qui s’attellent à apporter un peu de réconfort aux patients de l’hôpital. Dans les couloirs, rares sont ceux qui n’ont jamais essayés de zapper sur le canal 11.


« Cela fait plaisir de ne pas se sentir oublié », avoue un quinquagénaire, cloué dans son fauteuil roulant. Mais « il y a tout de même des choses à améliorer », explique Sandrine Pacitto. « L’objectif était d’inviter les malades, mais aussi le personel à s’exprimer à l’antenne. Et aujourd’hui, on constate qu’il ne semble guère mobilisé par cette radio alors qu’elle est un élément non négligeable de communication interne. » A l’autre bout de Paris, l’hôpital pour enfants Armand-Trousseau (XII e ) a également sa radio. Là aussi, il s’agit de faire oublier aux jeunes patients la maladie en écoutant et en participant aux émissions. « Ambroise-Paré et Armand-Trouseau sont deux hôpitaux précurseurs dans ce domaine, souligne Sandrine Pacitto. Alors à terme, l’idéal, c’est que chaque grand hôpital de France possède un jour sa radio, pour le bien-être des patients. »
Emmanuel Potiron


samedi 3 mai 2008

"On dégustera du thé aux jardins Albert-Kahn"



Un grand homme qui mériterait plus de place dans notre monde d'aujourd'hui : a-t-il des héritiers spirituels ?







Le conseil général veut mettre en valeur le musée et les jardins Albert-Kahn, ces petits bijoux cachés à deux pas du pont de Saint-Cloud.


MODESTEMENT fréquenté (87 000 visiteurs l'an dernier), le site est encore peu connu du grand public. « Cela reste assez confidentiel. Beaucoup de Boulonnais, même du quartier, ignorent son existence, atteste Thierry Solère, conseiller général du canton et premier adjoint au maire de Boulogne.


Ceux qui viennent sont surtout des Parisiens et des touristes étrangers. »




Aussi le département, propriétaire des lieux, a-t-il décidé de braquer une partie des projecteurs de sa future « vallée de la culture » sur cet ensemble végétal original de 4 ha mêlant jardins anglais, japonais, français, roses et fruitiers... et assorti d'une énorme collection d'autochromes, premier procédé de photographie en couleur.




Les Archives de la planète




Ces prises de vue, commandées et financées par le banquier Albert Kahn dans une cinquantaine de pays, entre 1909 et 1931, sont réunies dans un fonds appelé les Archives de la planète, constitué de 72 000 autochromes et de 180 000 mètres de films muets. Avec un investissement de quelque 6 millions d'euros, le département songe à ouvrir au public la maison de ce banquier philanthrope, actuellement hors du périmètre du musée, mais aussi de réinvestir la salle autrefois dédiée à la dégustation de thé, de rénover les différents pavillons du site et d'exposer les fameux autochromes, « qui sont dans les cartons alors que les gens viennent du monde entier pour les admirer », appuie le maire de Boulogne, Pierre-Christophe Baguet.




« Il y aurait une entrée supplémentaire, en lieu et place d'un ancien bistrot détruit, avec un bâtiment à l'architecture asiatique pour accueillir les expositions », poursuit l'élu.




Le conseil général souhaite également que le site soit directement accessible par la Seine, « pour que les visiteurs puissent arriver par bateau ». Selon Thierry Solère, les travaux devraient être lancés dans les trois ans.




Musée et jardins Albert-Kahn, 14, rue du Port. Ouverts tous les jours sauf lundi de 11 heures à 19 heures, de mai à septembre. Entrée : 1,50 €. Tél. 01.55.19.28.00.
BOULOGNE, AVRIL 2008. Les jardins Albert-Kahn, future étape de la vallée de la culture voulue par le conseil général des Hauts-de-Seine qui songe même à ouvrir au public la maison du banquier philanthrope... (LP/G.B.)






L'article ici.


Et d'autres célèbres alsaciens.

vendredi 2 mai 2008

Immobilier : des transactions juteuses... pour qui ?





De nombreuses transactions s'opèrent à Boulogne.




En toute transparence ?




Qui touche quoi, quels sont les intermédiaires ? Les prérogatives des élus sont-elles monnayées ?




Un marché juteux ... bien aidé par le dernier PLU qui favorise la densification (cf. article sur la
fin des alignements)



Actualités :
14/08/2008 :
Foncière Massena : DES REVENUS QUASIMENT MULTIPLIÉS PAR CINQ AU 1ER SEMESTRE
Le chiffre d’affaires de Foncière Masséna a été multiplié par près de cinq au deuxième trimestre 2008. Les revenus de la SIIC ont bondi de 337%, à 10,1 millions d’euros, dont 9,5 millions (+371%) de loyers. Sur l’ensemble du semestre, le chiffre d’affaires du groupe a atteint 19,8 millions d’euros (+334%), dont 19 millions (+358%) de revenus locatifs.Cette performance s’explique principalement par " l’effet de l’apport d’actifs réalisé en juin 2007 par diverses sociétés du Groupe des Assurances du Crédit Mutuel ", précise le communiqué de la foncière. Le patrimoine immobilier de Foncière Masséna s’établit désormais à 230.000 mètres carrés, contre 90.000 un an plus tôt. La société a par ailleurs signé à la fin du semestre l’acquisition d’un immeuble de bureaux pour un montant de 36 millions d’euros, loué en intégralité à la ville de Boulogne Billancourt depuis 2006 et pour une durée ferme de 6 ans. Foncière Masséna ne fournit aucune précision concernant l’exercice en cours, mais confirme son objectif d’investissement de 300 millions d’euros.Le titre Foncière Masséna reste sur un dernier cours de 11 euros.
03/07/2008 :
Gecina: acquisition d'un immeuble à Boulogne-Billancourt.
(CercleFinance.com) - Gecina annonce avoir réalisé l'acquisition, auprès de Hines European Development Fund (HINES), de Khapa, un immeuble de bureaux et de commerces d'une superficie totale de 19 612 m², situé à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) sur les anciens terrains Renault, pour un montant de 157 millions d'euros. Cette acquisition entre dans le cadre de l'accord de partenariat conclu entre Gecina et HINES à la fin de l'année 2005 pour le développement de quatre immeubles de bureaux dans ce nouveau quartier de Boulogne-Billancourt : L'Angle, livré en avril dernier et loué au journal L'Equipe, Khapa, Anthos (livraison prévue en 2010) et Horizons (2011). Khapa est d'ores et déjà entièrement loué au groupe pharmaceutique Ipsen au travers d'un bail de 9 ans ferme. Copyright (c) 2008 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
03/06/2008: Nextnews:
PROFIL : Foncière Masséna est spécialisée dans la détention et la gestion d'actifs immobiliers d'entreprise. Le patrimoine de la société comprend principalement des actifs immobiliers à usage de locaux commerciaux (grande distribution, centres commerciaux, galeries marchandes et magasins spécialisés).Le portefeuille immobilier de la société Foncière Masséna, totalisant une surface locative de 83 585 m2, est évalué, en valeur de marché (hors droits), à 119,1 MEUR.
FONCIERE MASSENA: Acquisition d´un immeuble de bureaux à Boulogne Billancourt
03/06/2008 - 18:15
Paris, le 3 juin 2008
Foncière Masséna vient de signer avec Warburg- Henderson une promesse de vente en vue de l´acquisition d´un immeuble de bureaux à Boulogne Billancourt.
Livré en 2005 et situé 46/52, avenue André Morizet, l´immeuble R´Way développe une surface de 4 262 m² et comporte 95 emplacements de parkings en sous-sol.
Il est loué en totalité à la ville de Boulogne Billancourt et occupé par l´Institut National du Cancer, dans le cadre d´un bail assorti d´une période ferme de 6 ans qui a pris effet en 2006.
Dans cette transaction réalisée par l´intermédiaire de CB Richard Ellis, le vendeur était conseillé par l´étude Wargny Katz et le cabinet Gide Loyrette Nouel et l´acquéreur par l´étude Hitier.
Cet investissement s´inscrit pleinement dans la stratégie de développement de Foncière Masséna qui vise à renforcer son pôle bureaux avec des actifs de taille significative et de qualité.
Cotée au compartiment B de NYSE-Euronext Paris, la Foncière Masséna est une Société d´Investissements Immobiliers Cotée (SIIC) qui entre dans la composition de l´indice Euronext IEIF " SIIC France ". La société est le véhicule d´investissement immobilier du groupe des Assurances du Crédit Mutuel. Elle gère un patrimoine immobilier diversifié (bureaux, habitations, commerces) d´une surface totale d´environ 230 000 m2 qui génère en année pleine des loyers de près de 40 ME.Informations disponibles sur : http://www.fonciere-massena.comcontacts/
Montant 25M d'euros ? Revenus : 74 M d'euros ?

02/05/2008:


Gecina acquiert 11.000 m2 de bureaux


Coût de l'investissement : 84 millions d'euros.


Gecina indique avoir réalisé pour 84 millions d'euros l'acquisition auprès de Hines European Development Fund (HEDF), de L’Angle, immeuble de bureaux de 11.000 mètres carrés situé à Boulogne/Billancourt sur les anciens terrains de Renault.
La société que dirige Joaquín Rivero vient par ailleurs de conclure un bail de 12 ans avec le journal L’Equipe (groupe Amaury) pour la totalité des surfaces de bureaux de cet immeuble.


http://www2.newsmanagers.com/articles/view/503







14/02/2008:


Eurosic (Groupe Caisse D'Epargne) acquiert le projet "B2", situé dans le périmètre du Trapèze à Boulogne-Billancourt (92), auprès de Nexity. Le montant de cet investissement s’élève à 57 M€. L’immeuble de 7 451 m² de bureaux HQE sera livré en 2009. « Sur cette transaction, nous attendons un taux de rendement minimal de 6,3%, établi sur la base d’un loyer de 450 €/m²/an », précise Meka Brunel, présidente du directoire d’Eurosic.




http://www.businessimmo.info/pages/lettre/fiche.php?s_code=080214F2467




15/11/2007:

ING Reim France a acquis, pour le compte d'ING Assurance, auprès d'un fonds géré par Schroder Property Investment Management, l'immeuble Antares situé à Boulogne-Billancourt (92). Cet immeuble développe environ 10 200 m² et est loué en totalité à la Française des Jeux. Le volume d'investissement s'élève à environ 100 M€.




http://www.businessimmo.info/pages/lettre/fiche.php?s_code=071115F2167









07/11/2007

Eurosic a signé une promesse d'acquisition (36,9 M€), auprès d'Oppenheim, d'un immeuble de bureaux d'environ 6 800 m2, entièrement loué jusqu'en 2012 à un locataire unique, la société de services informatique ALTEN, situé au 221 Bd Jean Jaures. (Rendement 5,8%)




http://www.businessimmo.info/