mercredi 14 janvier 2009

"Le Pôle s'emploie à la fusion"

20 minutes : De quoi freiner la hausse du chomage ? il serait temps !

Des locaux flambant neufs au bord de la Seine, du matériel informatique dernier cri, un mobilier résolument moderne... Au premier coup d'oeil, le nouveau Pôle emploi de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) apparaît comme une jolie vitrine de la fusi...

Des locaux flambant neufs au bord de la Seine, du matériel informatique dernier cri, un mobilier résolument moderne... Au premier coup d'oeil, le nouveau Pôle emploi de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) apparaît comme une jolie vitrine de la fusion ANPE-Assedic, dont la mise en oeuvre sur le terrain a démarré le 5 janvier. Son objectif : créer partout en France des guichets uniques pour les demandeurs d'emploi, chargés d'assurer leur inscription, leur suivi, leur indemnisation et leur placement.

Site précurseur, le Pôle emploi de Boulogne, ouvert le 7 janvier, réunit une soixantaine de conseillers, issus des anciennes agences Assedic et ANPE. Ces équipes mixtes accueillent déjà conjointement les demandeurs d'emploi. Si, à terme, tous les agents pourront répondre indifféremment aux questions des chômeurs, pour l'heure, chacun garde ses compétences d'origine : « Je peux guider les personnes dans leurs recherches d'emploi, mais j'ai du mal à répondre à certaines interrogations concernant l'indemnisation », confie Claire Pommert, ancienne conseillère ANPE, qui appelle souvent à la rescousse ses collègues venus de l'Assedic. A ses côtés, l'une de ses consoeurs semble plus inquiète : « Trois jours de formation sont prévus, je doute que cela suffise pour acquérir des compétences complexes. » Pour parfaire la formation du personnel, « des binômes agent ANPE et Assedic seront bientôt créés afin de favoriser les échanges de savoirs », affirme Annie Gallois, codirectrice du Pôle emploi de Boulogne, qui mise sur un délai de six mois pour rendre ses équipes totalement opérationnelles.

Si tous les bénéfices de la réforme ne sont pas encore palpables pour les chômeurs, les nouveaux inscrits voient d'ores et déjà leurs démarches simplifiées : « Ils peuvent enchaîner leur entretien "indemnisation" avec celui où l'on aborde leur projet d'emploi personnalisé et bénéficieront bientôt d'un entretien unique », souligne Annie Gallois. Une souplesse que semble plébisciter les demandeurs d'emploi présents ce jour-là : « Cela me fera gagner du temps », commente ainsi une jeune femme. Autre espoir né de la fusion : « les agents suivront moins de personnes et pourront les rencontrer plus régulièrement », affirme Raymond Lagré, directeur du Pôle emploi Ile-de-France. Des ambitions qui semblent difficilement réalistes au vu de l'explosion du taux de chômage de ces derniers mois...

Delphine Bancaud


var gaJsHost = (("https:" == document.location.protocol) ? "https://ssl." : "http://www.");
document.write("\\" );

var pageTracker = _gat._getTracker("UA-3222681-1");
pageTracker._setDomainName("20minutes.fr");
pageTracker._initData();
pageTracker._trackPageview();

"Reconstruction du collège du vieux pont de Sèvres"

Les Verts, toujours en pointe sur l'information de proximité :

"Le conseil général va examiner (lundi prochain en commission permanente) deux rapports sur la reconstruction du collège du vieux pont de Sèvres qui se fera sur un ex-terrain municipal de 7 500 m² situé à l’angle des avenue Edouard Vaillant et rue Thiers.

La lecture de ces rapports est instructive car elle réserve des surprises.

D’abord, on apprend que le nouveau collège comprendra un internat pour la réussite de 32 places, une unité pédagogique d’insertion pour les handicapés mentaux et un Centre d’Information et d’Orientation.

Pas de cuisine scolaire, d’office le choix est fait de la liaison froide.

Ensuite, il coûtera 25 853 344,95 € TTC.

Enfin, la dépollution du terrain coûtera à la ville 1.515 385, 15€ TTC au lieu des 300.000 euros estimés en juillet 2008.

Mais quel sera le nom de ce futur collège puisqu’à priori la vice-présidente en charge des collèges au département, I. BALKANY, estime que le nom "Vieux Pont de Sèvres" n’a plus lieu d’être ? Et qui choisira ? Y-aura-t-il une consultation publique ?

Et heureusement, nous avons échappé au partenariat public-privé qui a fait preuve de ses défaillances budgétaires avec le collège de Courbevoie."

samedi 3 janvier 2009

Le cri du contribuable : des dépenses du conseil municipal qui attendent des éclaircissements !

Quid de la transparence ?

Lecri.fr :

"Les économies de PC Baguet commencent par le triplement (un peu +) de son cabinet, avec éventuellement logements de fonctions etc...,
l’embauche de nouveaux cadres municipaux, avec éventuellement logements de fonctions etc.., tout en payant les précédents et leurs éventuels avantages (c’est la règle de la fonction publique),
tout en refusant de répondre aux boulonnais qui lui demandent des précisions sur les dépenses liées au conseil municipal (40 élus = 1 maire + 21 adjoints + 20 conseillers délégués !!! si ! si !) à son cabinet, personnel et dépenses diverses aux adjoints, dont certains se sont rendus célèbres en notes de restaurants...
Vous avez dit "le cri du contribuable" ? il n’est pas bien fort !"